Dans l’affaire de la pouponnière « Kër Yërmànde », de nouvelles charges pèsent sur Ndella Madior Diouf, selon son avocat qui affirme qu’elle a bénéficié d’un deuxième retour de parquet. Outre les accusations précédentes, d’autres chefs d’accusation sont désormais retenus contre elle, notamment la mise en danger de la vie d’autrui, l’exercice illégal de la fonction de médecin et l’exploitation de la pouponnière sans autorisation.
Cette affaire prend une tournure plus complexe alors qu’une dizaine d’individus, dont des chauffeurs, des nounous et des gardiens, ont été interpellés et placés en garde à vue. Les autorités cherchent à établir leur rôle dans cette affaire et déterminer leur éventuelle responsabilité.
Le sort de Ndella Madior Diouf repose désormais entre les mains du procureur, qui est le maître des poursuites. Ce dernier devra étudier les éléments de l’enquête et décider des actions à entreprendre. Il est important de souligner que toute personne accusée est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité soit prouvée devant un tribunal.
Cette affaire suscite une grande attention médiatique et publique, étant donné la nature des accusations portées et les conséquences potentielles sur la sécurité et le bien-être des enfants pris en charge par la pouponnière. Les autorités compétentes travaillent activement pour faire la lumière sur cette affaire et garantir que justice soit rendue.