La lutte contre cette corruption ne peut cependant être efficiente qu’en faisant de la bonne gouvernance un sacerdoce immuable pour les pays concernés.
Il faudrait auparavant, poursuit le président du parlement, identifier les causes de cette corruption pour tuer le mal à la racine.
Durant 5 jours les parlementaires de la CEDEAO s’appliqueront autour de 3 axes de réflexion que sont : le cadre juridique international et africain de lutte contre la corruption ; le phénomène de la corruption en politique et son impact sur la gouvernance ; ainsi que les expériences des pays de la CEDEAO en matière de lutte contre ce fléau.
Plusieurs panels vont aider dans la contribution de recherche de solutions. Source : Nouvelactu