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Société: Un atelier sur la gestion de l’eau ouvert à Dakar

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Atelier régional de renforcement des capacités,de mise en oeuvre et de maintien d’un système de suivi et évaluation sur la gestion durable des terres et de l’eau au Sénégal a été effective depuis le mardi 26 avril 2016 et s’achevera le samedi 30. Partant d’un constat, on estime que 70% de la population rurale, soit 50% de la population totale, tirent leurs moyens d’existence de la terre. Selon « l’Analyse Environnementale Pays » (Banque Mondiale, 2009), l’impact de la dégradation des sols touche 2/3 des terres arables du pays et a un coût économique de 1% du PIB. Les principaux effets de cette dégradation sont: la baisse du potentiel de croissance (fertilité), la limite des options et les possibilités de générer des revenus (lien avec vulnérabilité), et les coûts sociaux (migration, chômage). La Gestion Durable de la Terre (GDT) est conçue comme un moyen efficace de lutte contre la dégradation des terres et pour l’adaptation au changement climatique. Malgré quelques succès techniques isolés, l’adoption de la GDT à grande échelle reste limitée au Sénégal. Les raisons sont liées à l’existence d’un cadre peu propice (politiques et réglementations incohérentes; capacités institutionnelles insuffisantes, parmi d’autres) et une approche uni-sectorielle axée sur les projets. Le Sénégal a reçu un don du Fonds de l’Environnement Mondiale pour mettre en œuvre le Projet de Gestion durable des Terres (GDT) qui, parmi d’autres objectifs, prétend mettre en place un Cadre National d’Investissement Stratégique en GDT (CNIS-GDT). Les activités liés au CNIS-GST sont cordonnées pour l’Institut National de Pédologie (INP) et appuyées par le reste d’agences d’exécution du projet (ISRA, ANCAR et ASPRODEB) et la Banque Mondiale comme partenaire. Le Centre de Suivi Ecologique (CSE) a accumulé plusieurs expériences sur l’étude et la solution de la dégradation des terres depuis sa création dans les années 70. Le CSE a exécuté récemment l’expérience pilote du projet « Land Degradation Assessment in drylands » (LADA), coordonné par la FAO et qui cherche à développer des méthodologies simples d’évaluation de la dégradation/gestion durable des terres dans les zones arides. L’Université Polytechnique de Catalunya (UPC) a une longue expérience de travail appliqué dans le domaine de la coopération internationale. Sa Faculté d’Agriculture et son Centre de Développement Durable ont commencé à collaborer avec plusieurs organisations et institutions académiques sénégalaises dans le cadre de la GDT. Dans le plan financier, le Centre pour la Coopération au Développement de l’UPC a offert un don de € 4,000 euros pour la célébration des « Ateliers de vulgarisation et coordination des partenaires au développement en GDT ». Ces ressources ont aussi été complétés avec l’appui du Projet GDT –BM, son Unité de Coordination et les quatre agences d’exécution des composantes.une situation  qui est évolutive dans les autres pays de la sous région et même en Afrique centrale.une situation confirmée par le Dr MPHUMUZI SUKATI du COMESA qui est économiste agriculturel ,pour lui ,la gestion des ressources doit tenir compte de l’environnement ,de la protection des productions agricoles et des paradigmes lies au changement climatiques.pour se faire,Mr mphumuzi pense qu ‘il faut que les communautés  Economiques de nos pays soient informées.en outre,Mr Au Sénégal on estime que 70% de la population rurale, soit 50% de la population totale, tirent leurs moyens d’existence de la terre. Selon « l’Analyse Environnementale Pays » (Banque Mondiale, 2009), l’impact de la dégradation des sols touche 2/3 des terres arables du pays et a un coût économique de 1% du PIB. Les principaux effets de cette dégradation sont: la baisse du potentiel de croissance (fertilité), la limite des options et les possibilités de générer des revenus (lien avec vulnérabilité), et les coûts sociaux (migration, chômage). La Gestion Durable de la Terre (GDT) est conçue comme un moyen efficace de lutte contre la dégradation des terres et pour l’adaptation au changement climatique. Malgré quelques succès techniques isolés, l’adoption de la GDT à grande échelle reste limitée au Sénégal. Les raisons sont liées à l’existence d’un cadre peu propice (politiques et réglementations incohérentes; capacités institutionnelles insuffisantes, parmi d’autres) et une approche uni-sectorielle axée sur les projets. Le Sénégal a reçu un don du Fonds de l’Environnement Mondiale pour mettre en œuvre le Projet de Gestion durable des Terres (GDT) qui, parmi d’autres objectifs, prétend mettre en place un Cadre National d’Investissement Stratégique en GDT (CNIS-GDT). Les activités liés au CNIS-GST sont cordonnées pour l’Institut National de Pédologie (INP) et appuyées par le reste d’agences d’exécution du projet (ISRA, ANCAR et ASPRODEB) et la Banque Mondiale comme partenaire. Le Centre de Suivi Ecologique (CSE) a accumulé plusieurs expériences sur l’étude et la solution de la dégradation des terres depuis sa création dans les années 70. Le CSE a exécuté récemment l’expérience pilote du projet « Land Degradation Assessment in drylands » (LADA), coordonné par la FAO et qui cherche à développer des méthodologies simples d’évaluation de la dégradation/gestion durable des terres dans les zones arides. L’Université Polytechnique de Catalunya (UPC) a une longue expérience de travail appliqué dans le domaine de la coopération internationale. Sa Faculté d’Agriculture et son Centre de Développement Durable ont commencé à collaborer avec plusieurs organisations et institutions académiques sénégalaises dans le cadre de la GDT. Dans le plan financier, le Centre pour la Coopération au Développement de l’UPC a offert un don de € 4,000 euros pour la célébration des « Ateliers de vulgarisation et coordination des partenaires au développement en GDT ». Ces ressources ont aussi été complétés avec l’appui du Projet GDT –BM, son Unité de Coordination et les quatre agences d’exécution des composantes .Venu de lusaka a ce atelier,le Dr mphumuzi sukati du COMESA qui est économiste Agricultural de la zambie  pense qu il faut une bonne gestion des ressources humaines,basée sur une prise en compte de l’environnement,une protection des productions agricoles en phase avec les changements climatiques qui nécéssite une sensibilisation des populations.Mr ngarhimdi rassembaye chef de service ADR a la CEEAC( communauté Economique des Etats d’Afrique centrale)de son point de vue a fait un constat lie a son pays d’origine ,LE TCHAD.situe dans 2 zones désertiques,comara Burundi et le Tchad. Il y’a une dégradation des sols très avancée,c’est là qu’il pense que le projet de la muraille verte est le bienvenu.Mr rassembaye ajoute qu’il y’ai de l’inclusivité,l’existence de technologie coordonnées,pointues qui s’adapte aux phénomènes naturels et permet une prise de conscience de nos populations.

 

Assane Diop