Elle est au devant de la scène médiatique et, moult fois, ce depuis le rappel à Dieu de Cheikh Bethio Thioune, au mois de Mai 2019. L’on n’a pas encore fêté l’anniversaire de la disparition de son défunt mari de guide des «Thiantacounes» mais, elle continue de troubler son sommeil au point de faire rougir plus d’un talibé…mouride. Elle, c’est Aida Diallo, dite «Cheikh Aida Diallo Saliou» pour ses fous inconditionnels. Tant elle tient à son titre, à sa «Cheikhité» comme son ombre. Aida, telle une mégère infernale, a franchi le Rubicon… des interdits mourides, voire islamiques. Elle s’en fout de la tradition issue des enseignements de Cheikh Ahmadou Bamba et, plus loin, des valeurs mahométanes qui veut que le fils aîné soit l’hériter légitime du trône du père parti ad patres. Cette dame –là, il est grand temps qu’on la rappelle à l’ordre par ce qu’elle nourrit l’ambition de biaiser, réduire à charpie notre héritage islamique. Sortie de nulle part, elle veut régner sur le royaume d’autrui en s’appuyant sur des suppôts de la subversion pour vivre, pour survivre de logorrhées verbales honteuses.
Au dernier Magal de Touba 2019, Aida Diallo avait fait parler d’elle –même par des gestes qui la rapetissent. Elle donne l’intention d’agir pour jeter l’anathème sur l’idéologie mouride fondée au prix de mille sacrifices par ce martyr rare dans la lignée des souffre-douleurs : Cheikh Ahmadou Bamba Khadimou Rassoul. Aujourd’hui, toutes les forces vives musulmanes en général et celles mourides en particulier, doivent se lever comme un seul homme pour mettre hors d’état de blasphème cette dame et ses sbires. Aucune femme, puisse-t- elle fille, sœur ou femme du Fondateur du Mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba ou de ses frères ou «Cheikh» ne s’tait jamais comportée Aida Diallo. Elle est un chancre à extirper du corps mouride. Le Khalife général des Mourides Cheikh Mountakha Mbacké Bachir (Yal Nafi Yagg lool Té Wéer !) a bien fait de la sermonner mais, elle donne l’impression d’être sourde, de ne vouloir nullement entendre raison. Il est de notre ressort, nous talibés, de prendre à bras le corps la gravité du sacrilège .Il faut stopper Aida et je pense qu’aucune action ne sera de trop pour annihiler ses desseins noirs sur le Mouridisme et sur l’Islam.
Ibrahima NGOM Journaliste