Le Jaraaf de Dakar n’a pas réussi à franchir l’étape des phases de groupe de la Coupe de la Confédération Africaine de Football (CAF). Opposés à l’USM Alger ce week-end, les Verts et Blancs de la Médina avaient besoin d’un simple match nul pour valider leur billet pour les quarts de finale, quelle que soit la performance de leur concurrent direct, l’ASEC Mimosas de Côte d’Ivoire. Malheureusement, leur aventure s’est terminée sur une 0-2 en Algérie.
Le Jaraaf, malgré une belle phase de groupes, n’a pas pu contenir la pression dans un stade hostile à Alger. Les locaux de l’USMA ont dominé la rencontre, inscrivant deux buts décisifs et supportant toute réaction des Sénégalais. Cette contre-performance rencontrée fin aux espoirs de l’équipe dakaroise qui, en cas de nul, aurait assuré sa place parmi les huit meilleures équipes de la compétitions.
Dans le même temps, à Abidjan, l’ASEC Mimosas n’a laissé aucune place au doute. Les Ivoiriens, qui avaient absolument besoin d’une victoire, ont livré une prestation éclatante face à Orapa United du Botswana. Portés par une attaque prolifique, ils se sont imposés sur le score sans appel de 4-0, décrochant ainsi leur qualification pour les quarts.
Cette élimination est une grande déception pour le Jaraaf et ses supporters, qui avaient nourri l’espoir de voir leur équipe aller plus loin dans cette compétition prestigieuse. Cependant, ce parcours reste honorable et servira d’expérience pour l’avenir. Les joueurs et le staff devront maintenant se concentrer sur les prochaines échéances nationales.
Malgré cette défaite, le Jaraaf de Dakar peut tirer des leçons positives de cette campagne. Avec une organisation collective solide et des performances encourageantes lors des premiers matchs, le club a prouvé qu’il pouvait rivaliser avec les grandes équipes africaines. Les supporters espèrent déjà un retour plus fort lors des prochaines compétitions.
Les yeux sont désormais tournés vers les quarts de finale, où l’ASEC Mimosas et d’autres grands noms du football africain tentent de décrocher le précieux trophée. Quant au Jaraaf, l’heure est à la reconstruction pour revenir plus fort.
