Les jeunesses du parti regroupées dans l’UJTL et le MEEL expriment leur mépris à l’encontre de l’ex frère Modou DIAGNE Fada qui, comme un chien enragé, a honteusement tenté de mordre son maitre.
Modou Diagne Fada doit vaincre son incrédulité. C’est un fils perfide et indigne, un contre exemple pour la jeunesse politique. Jamais une trahison n’aura été aussi flagrante. Mais le drame pour notre démocratie, c’est que cette félonie s’est faite avec la complicité du Président de la République et du Président de l’Assemblée Nationale. Cela constitue un précédent dangereux pour notre pays.
S’il avance qu’il a rendu plus de service a WADE qu’il en a reçu de lui c’est insulter la mémoire des sénégalais.
Pire, il insinue irrespectueux que le Frère Secrétaire Général, Me Abdoulaye WADE qui lui a demandé de passer le témoin à la sœur Aida MBODJ se laisse manipuler par un groupuscule dans le parti. Fada DIAGNE est vraiment devenu de très mauvaise foi.
Me WADE était il manipulé lorsqu’il le désignait président de groupe devant le Coordonnateur National Oumar SARR, le 1er ministre Souleymane Ndéné NDIAYE, le professeur Iba Der THIAM, le Ministre d’Etat Aida MBODJ, le Ministre d’Etat Ousmane NGOM , le questeur Lamine THIAM, la fidèle Woré SARR et les autres…
Il avait élu domicile chez le Président WADE à Fann et lui a supplié, comme un valet assidu, de le mettre sur la liste nationale parmi les dix premiers.
Fada considère aujourd’hui que le poste de président de groupe parlementaire des libéraux et des démocrates est devenu son héritage propre
Lorsque le Président WADE finançait seul la participation du PDS aux élections législatives de 2012 à hauteur de plusieurs centaines de millions, quelle a été sa contribution ? ZERO.
Fada est le symbole de l’infidélité, de la déloyauté, de la fourberie, de la traitrise, de la tartuferie et de l’imposture.
Il a pris des engagements chez Macky SALL pour détruire le PDS, ce qu’il ne saurait respecter.
Il a procédé à un adultère politique et mérite ainsi 1000 coups de fouet sur la place publique.
Nous avons envie de lui poser une seule question : Quel est sont métier et où est ce qu’il a travaillé en dehors de la sphère de Me WADE.
Qu’est ce qu’il a fait pour Me WADE au point de le revendiquer ?
Lorsqu’il venait d’arriver devant WADE, fatigué et mal fagoté, ce dernier a demandé à Madame WADE de se faire accompagner par Farba SENGHOR pour aller au marché Sandaga lui acheter des habits présentables.
Le président Abdoulaye WADE en avait fait un jeune député puis un jeune ministre et aujourd’hui un président de groupe.
S’il est président du conseil départemental de Kébémer c’est parce qu’il a arboré les couleurs du PDS dans un département où est originaire Me WADE.
Qu’il se détrompe car les seules fois qu’il dit gagner à Darou Mousty, c’est parce que qu’il était dans le PDS. Lorsque qu’il était sorti du parti, il a perdu à Darou Mousty.
Quand le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres.
Il n’a participé à aucun combat depuis la perte du pouvoir en 2012.
IL a été particulièrement absent dans la lutte pour la libération de Karim WADE et dans les autres combats pour la démocratie et le respect des libertés engagés par le parti.
Qu’il arrêtte de mêler le nom de Karim WADE dans ces discours et dans sa propagande de la honte adossée sur la trahison. Ça suffit !
Tous les sénégalais ont compris maintenant que Karim WADE n’est pas et n’a jamais été son candidat. Il a semblé le soutenir pour des raisons bassement tactiques. Mais aujourd’hui son jeu ignoble est découvert.
Il revendique, sur tous les toits, des performances douteuses qu’il aurait obtenues avec son «waar wi » comprenait « wor wi ». Nous lui rappelons qu’il était venu demander pardon à Me WADE pour qu’il lui finance la participation de « waar wi » aux législatives de 2007.
L’histoire retiendra de lui qu’il a poignardé son père Abdoulaye Wade, au moment où celui-ci avait besoin de tous ses fils, héritiers de son génie, unis contre l’injustice et l’arbitraire. Mais, Hélas ! Fada a préféré la trahison et les prébendes. Il n’a pas compris que la vie n’a de sens que si elle est rattachée au combat pour l’humanité et le bonheur des hommes.
C’est là tout le sens du combat de notre Coordonateur national Oumar Sarr et de ses collaborateurs, qui ont compris que face à l’arbitraire il faut opposer la résistance.
L’UJTL lui apporte son soutien indéfectible dans sa prise en charge des urgences du parti. Les injures et insanités des thuriféraires de Fada ne méritent aucune considération. C’est l’arme des faibles et des égarés.
Les indiens disent : « pour cacher un mensonge, il faut mentir mille fois »
Nous lui suggérons sagement de reprendre son machin de « waar wi » pour enfin prouver ses revendications sur l’échiquier politique…
De toute façon, il n’a pas le choix car étant exclu définitivement du parti qu’il a voulu saborder.
Fait à Dakar le 20 novembre 2015